Au nom de Dieu le Miséricordieux Cour suprême nationale Chambre criminelle Devant : Monsieur : Al-Fateh Hamed Hassa Hussein Président Monsieur : Aber Al-Mahi Abdulrahman Membre Monsieur : Babker Mohammad Babker Al-Tani Membre Monsieur: Mahmoud Mohammad Said Abkam Membre Monsieur: Mohammad Moustafa Hamad Membre Procès d’Ahmed Al-Fadel Ahmad Numéro : M A/TG/123/206 Le Jugement Une demande de révision présentée par l’avocat du condamné, pour réviser le jugement rendu par la chambre d’appel de la cour suprême nationale numéro MA/TG/123/2016. Le jugement a été étayé par les jugements de la cour d’appel d’Omdurman et la cour de la première instance, du jugement rendu par le nombre ASG/577/2016. L’avocat a dit par sa demande qu’il n’existe pas des preuves fondées sur la loi permettant de condamner l’accusé en vertu de l’article 142 de code pénale ou l’article 45/G de la loi sur l’enfance de 2010. La demande a été acceptée. Il a présenté le dossier devant la cour pour l’étudier de nouveau. La deuxième partie a été informée de la demande de révision mais il n’a pas répondu. Le dossier est devenu valide pour l’étudier. Les faits de l’affaire pénale contre le condamne sont résumés, en ce sens qu’il est le père de deux victimes, qui ont sept ans. Il y a des problèmes entre le couple qui ont été conduit à leur séparation pendant trois ans. La mère a déclaré que le père. L’accuse, avait l’habitude de se rendre à la maison, ou elle habitait avec les deux filles pour les voir, mais l’avait empêché de la faire. Il a commencé à aller à l’école et les emmené dans la rue, dans un coin de terre vide, en les embrassant d’une manière inhabituelle, en touchant leurs corps dans des zones sensibles et en insérant ses doigts dans leurs chattes. La police a ouvert une enquête et a examiné médicalement la fille aînée et n’a pas constaté des signes de harcèlement sexuel. Le rapport a indiqué qu’elle souffrait d’une simple ecchymose au nez. La cour de la première instance, après avoir entendu l’accuse et la défense, a pris la décision de condamner l’accuse selon l’article 142 de la loi et a décidé de l’acquitter de l’accusation a son encontre en violation de l’article 45B de la loi de l’enfance de 2010. Le tribunal a condamné l’accuse à six mois d’emprisonnement et par une peine avec sursis à partir de 18/2/2016. La cour d’appel a confirmé le verdict numéro ASG/577/2016. Mais elle est intervenue pour impliquer l’ordonnance d’application de la peine d’emprisonnement et elle a renvoyé les papiers au tribunal pour qu’il soit condamne à une peine d’emprisonnement commençant a la date de son arrestation. La cour de première instance a exécuté ce qui a été dit.

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