Projet de base de données des violences basées sur le genre
Extension de l’outil analytique de jurisprudence africaine des droits de l’homme
Développement de la base de données
Cette base de données a commencé avec trois pays (République démocratique du Congo, Ouganda et Kenya) qui ont été sélectionnés comme pays pilotes parce qu'ils étaient en situation de conflit, ou ils venaient de sortir d'un conflit, ce qui crée une atmosphère propice aux crimes et à la violence, en particulier en particulier les violences basées sur le genre. Depuis le lancement de cette base de données en 2015, nous avons réussi à ajouter des ressources sur plusieurs autres pays et nous envisageons de couvrir tous les pays du continent, avec autant de ressources que possible.
PAYS (#) | LEGISLATION (#) | AFFAIRES (#) |
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Types d’affaires les plus courants
Fonctions de la base de données
Cette base de données servira à faire connaître et accroître l'accessibilité et l'utilisation des cadres juridiques disponibles aux victimes des violences basées sur le genre, afin d’accéder au recours.
Elle identifie et rassemble les instruments internationaux, les législations nationales et les jurisprudences pertinentes sur les violences basées sur le genre en différentes langues de l'Union Africaine.
Elle met en évidence les jurisprudences principales afin qu’un utilisateur non initié puisse trouver facilement les informations pertinentes.
Elle rend facile les recherches en classant les données selon les pays, les types de décision et les mots-clés / thèmes.
Il permet aux chercheurs / utilisateurs de lire simultanément une décision et le texte des instruments nationaux et internationaux cités en fournissant des liens cliquables dans les textes.
Financeurs du projet
La phase initiale de ce projet a été financée par la Fondation John D. et Catherine T. MacArthur (Fondation MacArthur) de 2013 à 2016.
Grâce au succès de la phase initiale, IHRDA a par la suite obtenu des financements de National Endowment for Democracy (NED), d’Open Society Initiative for West Africa (OSIWA) et d’United States Institute of Peace (USIP), ce qui nous a permis d'inclure quelques autres pays.
IHRDA reste engagé à chercher des financements pour pouvoir ajouter d’autres pays et informations sur la base de données, car notre souhait c’est de couvrir tous les pays d'Afrique.