Cette circulaire interministérielle s'inscrit dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). La circulaire note que certains officiers de justice rendent la tâche difficile aux civils (victimes présumées) lorsqu'ils tentent de porter plainte pour agression et violence en demandant aux plaignants de présenter des preuves médicales. La circulaire mentionne que la présentation d'un certificat médical ne détermine pas la gravité de l'infraction commise et précise que des preuves médicales peuvent être demandées au cours de la procédure, car elles ne sont pas impératives pour les enquêtes préliminaires.