Au nom de Dieu le Clément et Miséricordieux Cour Suprême Nationale Département des États centraux et Gedaref Devant : Monsieur : Tarek AlDaw Ayoub Président Monsieur : AlArki AlRih AlOuleish membre Monsieur : Moussa AlNil Abel AlMakshafi membre Numéro : M A/FG/86/2017 Procès Abdul Aziz Abkar Idris Jugement La Cour pénale de l’enfant de Rabek a condamné l’accusé Abdul Aziz, conformément à l’article 45/B de la loi de 2010 sur l’enfance, à la réclusion à perpétuité pour avoir eu une relation sexuelle avec la victime âgée de 16 ans, qu’il a enceintée. L'avocat Mohamed Hassan El-Aaz a interjeté appel en demandant l'annulation du jugement de la Cour d'appel en faveur de la décision du Tribunal de première instance qui a violé de la loi. L’appel a été accepté car il a été présenté dans le délai légitime conformément à l’article 148 de code pénal de 1991. La condamnation est confirmée par la reconnaissance des torts par l'accusé à toutes les étapes de la procédure. Le tribunal du sujet a également appliqué le droit aux soins : parce que la différence entre l'article 4 de la loi de 2010 sur l'enfant et l'article P du code pénal de 1991 a été ôté. Pour nous, la décision prise dans ce département est correcte conformément à la loi sur les enfants : l'âge de l'enfant a été déterminé, le droit pénal parle de l'âge adulte et les tribunaux ne sont pas partis à l'abrogation ou à l'inconstitutionnalité d'une loi, mais plutôt des fonctions de la Cour constitutionnelle. Si la loi est abrogée, les tribunaux doivent en appliquer les dispositions. Par conséquent, nous considérons que la condamnation est correcte et que la punition est méritée. Ce qui nous oblige à appuyer la décision et à annuler la demande en appel soumise, en cas d'approbation de nos deux collègues Tarek AlDaw Ayoub Juge à la Cour Suprême 41/1/7142 AlArki AlRih AlOuleish Juge à la Cour Suprême

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