Au nom de Dieu le Miséricordieux Cour suprême nationale Département d'État de la mer Rouge et Kassala Chambre criminelle Devant : Monsieur: Abdelraouf Hasballah Malassi Président Monsieur: Ibrahim Mohammad Al-Maki Membre Monsieur : Mohammad Abu Baker Mahmoud Membre Numéro : M A/TG/25/GH/2015 Procès Al-Nazir A’jab Kafi Jugement L'accusé Nazir A’jab Al-Kafi a été reconnu coupable devant le tribunal pénal général de Helfa al-Jadida en vertu de l'article 151 du Code pénal de 1991, sous les articles 45 (B)/86Z de la loi sur l’enfance de 2010. Il a été condamné à une peine d'un an d'emprisonnement et à une amende de trois cents livres. En cas de non-paiement, il sera emprisonné pendant trois mois consécutifs. Le recours devant la cour d'appel de l'État de Kassala a été condamné par son jugement A S G/14/2015, Le 25/1/2015, à modifier la condamnation en vertu de l'article 45 G avec l’article 86/Z de la loi sur l’enfance de 2010. Les documents ont été renvoyés au tribunal de première instance pour réviser la peine. Et ensuite, cet appel a été reconnu fautif par l'avocat Khalid Othman Mohammed n'a rien trouvé qui puisse rendre sa décision. Nous considérons donc que le recours doit être soumis dans le délai prévu à l'article 184 A G de 1991. Après avoir examiné tous les documents, j’ai conclu que l’appel avait été déposé sans motif, mais nous avons néanmoins affirmé qu’à travers les éléments de preuve fournis, la conclusion du tribunal sur le sujet n’était pas valable. Il devrait être réexaminé conformément à l'opinion de la Cour d'appel, mais celle-ci n'a pas tenu compte du fait qu'en vertu de l'article 185 (G) du Code de procédure pénale, elle hésitait à aggraver la déclaration de culpabilité, car il était clair que le tribunal de première instance s'était concentré sur l'article 151 du code pénal. Il est clair que la peine, en vertu de l'article 45 modifié du Code de l'enfance, est plus sévère Dans ce cas, les papiers doivent être renvoyés au tribunal compétent pour réviser la condamnation. Il est clair que la peine, en vertu de l'article 45 (G) avec l’article 86 Z modifié du Code de l'enfance, est plus sévère. Dans ce cas, les papiers doivent être renvoyés au tribunal compétent pour réviser la condamnation. Une autre observation est que le condamné a déclaré avoir 16 ans et que l'acte d'accusation (3) avait mentionné que son âge est entre 18 et 20 ans. Quand on lui a demandé, il a confirmé qu'il avait 16 ans. Le tribunal de première instance devait enquêter sur cette affaire car elle entraînait l'imposition d'une peine d'emprisonnement ou d'un placement dans le domicile de l'un des garçons.

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