Au nom de Dieu le Miséricordieux Cour d’appel – Etat du Nil Blanc Chambre de la Charia Devant : Monsieur : Salaheldin Ibrahim Huseinin Président Monsieur : Oussama Kamal Omar Membre Monsieur : Abou Soufyan Mohammad Youssef Membre Numéro : ASCH/117/2016 L’appelant : Abdul Hadi Adam Idriss Contre L’appelée : Awatef Al-Nil Youssef Jugement L’appel déposé par l’avocat Hawa Saleh Abdullah au nom de l’appelant contre la décision de la cour de Rabek du deuxième degré, conformément le mémorandum numéro ASCH/13/2016 supportant le jugement de la cour de première instance publie sur le cas numéro 316/2016 en ce qui concerne pensions d’enfance précédents et suivants. L’appel était fondé sur les motifs suivants : 1- Le jugement s’est fonde sur les déclarations des témoins, même s’ils n’ont pas vu l’appelant pendant cinq ans. Les témoins n’ont donc pas prouve la profession de l’appelant ni son revenu, qui est diffèrent depuis cinq ans de ce qu’il est aujourd’hui. 2- La cour de première instance a condamné de dépenses précédentes sans entendre la preuve du potentiel de l’accusé. 3- La cour de première instance a tranché sur le sujet des frais de logement, bien que le défendeur possède une maison à Omdurman Ameriya. Il souhaitait l’intervention. L’appel avait déjà été accepté dans le formulaire et nous a ordonné l’appelée de répondre à travers l’avocat Mohammad Ahmad Izz al-Din. L’avocat a maintenu la validité du jugement pour que la demande soit valable pour la décision. Apres avoir examiné le procès-verbal de l’affaire et statue les motifs et les implications de la décision de la cour générale de Rabek et en ce qui concerne les dépenses en cours ainsi que l’application, je le juge approprie en fonction des revenus de l’appelé et le besoin des enfants. En ce qui concerne l’entretien antérieur, il faut prendre en compte le potentiel du père et il ne faut pas dépasser six mois. En revenant au jugement de la cour de première instance, a constaté la délivrance d’une pension alimentaire passée et postérieure à partir de la date du jugement et c’est une erreur. Le tribunal de première instance n’a pas confirmé le revenu du père et je vois, après l’acceptation de mes collègues, de subvenir aux besoins des enfants et leurs montants, ainsi que la remise des documents pour complément d’enquête sur les frais du conducteur réclamés.

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