Le recours a donc été accepté et rejeté. La procédure peut être considérée de manière générale et discutée à la lumière de ce qui est consigne dans le compte rendu. Lorsque la plaignante a supprimé le rapprochement, elle a signalé qu’elle ne renoncerait pas à son droit devant le tribunal et que la décision a été contestée sans sa volonté. Mais il conteste la validité du dossier et on sait qu’il n’est pas permis de contester la validité du procès-verbal. Voir précédent : gouvernement légal du Soudan contre Dinak alSheikh alwaya/MA/NJ/230/76 Magazine 1976. En revanche, l’arrêt attaqué est favorable aux parties pour qu’elles mettent fin au conflit et que le différend entre conciliateurs soit dissocié conformément au texte de l’article 286 du Droit des transactions civiles1984 basant sur l’article (293/2) du même droit, dans lequel les deux parties doivent se réconcilier. Le plaideur ne peut pas demander l'annulation de l'arrêt attaqué basant sur l’article 5/g de la loi de preuves 1994. Sur la base de tout ce qui précède, nous estimons qu’il est nécessaire d’annuler l’appel. Kassem Hamed Hussein Juge de cour suprême 22/5/2018 Deuxième avis Hashem Ibrahim Al-Toum Juge de cour suprême 22/5/2018 troisieme avis Dr. Souleiman Mohammad Shaeib Juge de cour suprême 24/5/2018 Le jugement final : 1- Annuler l’appel Kassem Hamed Hussein Juge de cour suprême Chef du département 24/5/2018

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