principe de la provocation cumulative. En plus le gouvernement de Soudan contre Nafisa Dafallah Majla
61, en disant : « Malgré le fait que l’accusée était suffisamment consciente pour savoir quelles étaient
ses actions, mais que, selon le psychiatre, elle éprouvait de vives sentiments de jalousie envers son mari.
Cette situation a suscité des craintes qui lui ont causé une colère extrême et la gravite de ses actes. Les
avocats estiment que la pratique de relations sexuelles avec elle, à l’aide des autres, est coercitive. Pour
cela, ils veulent modifier la condamnation.
Le 31/5/2018, le département de l’aide judiciaire (ministère de la justice) a présenté des motifs
supplémentaires au nom du Ministre de la justice concernant l’accusé, comme suit : elle s’est mariée à
l’âge de quinze ans et a été rejetée lorsqu’elle a atteint l’âge légal. Elle a refusé ce mariage et l’a forcée à
accepter, que c’était un avortement de son droit constitutionnel. Apres le mariage, il l’a emmenée à
l’appartement ou elle a refusé d’avoir une relation sexuelle avec lui. Ila demande l’aide de sa famille et
l’a battue jusqu’à ce qu’elle panique. Elle a perdu le contrôle d’elle-même et elle ne savait pas où elle
l’avait poignardé. Le tribunal a également violé ce qui est consistant et stable en matière d’acceptation
de la reconnaissance judicaire complètement, lorsque l’accusation n’a pas présenté de preuve de sa
demande. Elle devrait donc bénéficier de la provocation.
Le 3/6/2018, les deux avocats Ali Kayloub et Samia al0Hameshi ont présenté au nom de l’accusée un
appel avec des raisons supplémentaires et que l’accusée doit profiter du grave provocation, lorsque le
défunt a eu une relation sexuelle avec elle à l’aide d’autres personnes et elle a été force de le faire. Elle
est restée dans l’appartement après le départ (selon un témoin). Le défunt a essayé de l’approcher une
deuxième fois dans le matin, puis elle l’a poignardé après avoir provoqué quand il lui a dit : « je fais ce
que je veux ». La cour suprême a confirmé ce principe dans l’article M A/MK/181/78 gouvernement de
soudan/ contre/ Oum Brima Mohammad Ali qui établit un principe :
La provocation accumulée fait bénéficier l’accusée de la première exception de l’article (249) du code
pénal. Il estime également que l’accusée peut tirer parti de la norme de provocation personnelle en
matière de légitime défense surtout l’article (149) de code pénal dit que le viol peut tomber sur la
femme.
L’accusee a retiré ses aveux le lendemain. Cela devenu une preuve incontestable conformément au
texte de l’article 22 de la loi de preuve de 1991, de sorte qu’une intervention est demandée.
Les faits de cette affaire sont résumés, selon la déclaration du plaignant. L’accusée Noura Hussein a
poignarde son mari Ibrahim Bachir avec un couteau à la poitrine et au dos et causée sa mort a Mersam
dans le quartier al_mouhandessin (le 3/5/2017). L’accusée a été arrêtée après avoir été remise par la
police d’al-bakir. On a trouvé avec elle le couteau et le téléphone du défunt. La suspecte a été
interrogée immédiatement après son arrestation (page 7 du journal). Ella a raconté que le défunt mari
l’avait amenée à l’appartement après le mariage et ne lui avait pas demandé de faire l’amour le premier
jour. Le deuxième jour, elle était excusée et cinq jours plus tard, elle a fini ses règles et l’avait appelée à
avoir des relations sexuelles avec lui mais elle a refusé. Il a téléphoné à son oncle, qui était venu avec le
frère du défunt et son cousin. Elle leur a donné de l’eau, mais ils ont refusé de boire et ont commencé à
parler avec elle, mais elle a insisté a refusa de faire l’amour avec lui. Ils l’ont trainée à l’intérieur. Elle a
été battue par son oncle et son frère. Alors que son cousin la battait et enlevait ses vêtements. Son mari
a commencé de faire l’amour avec elle alors qu’ils attendaient en dehors et la fouinaient. Apres la fin de
la cohabitation, l’oncle est parti. Son frère et son cousin sont restés avec eux. Elle voulait le poignarder à
l’époque, mais elle n’a pas trouvé le couteau. Elle ne savait qu’ils ont caché le couteau sous la