L'appelant est la soeur de la victime, une fille de quinze ans. Elle conteste le jugement de la Cour d'appel qui part du principe que l'accusé d'agression sexuelle était un mineur, se référant à l'article 188 de la loi de procédure pénale. De plus, dans ce cas, il ne peut y avoir de consentement car la victime était mineure. La Cour suprême accepte et la décision initiale du tribunal de première instance est rétablie.