Au nom de Dieu le Miséricordieux Cour suprême nationale Département du statut personnel Recours numéro 694/2015 Délivré par la Cour suprême du département du statut personnel, deuxième cercle, le 62/8/2015 sous la présidence de monsieur/ AlBouchri Othman Saleh et les membres Abdulhamid Mohammad Abdulhamid et monsieur Ahmed Mohammad Abdulmajid : Juges de la cour suprême. Le dossier de l’appel numéro 682/S/6102 a été présenté. Cour d'appel Etat Bahri et Nil Est D A CH et les papiers de l’affaire 738/K/2014 Cour Etat Bahri, enregistré sous le numéro 336/recours/2015 L'appelant : Héritiers d'Othman al-Gurashi Ahmad Appelé : Héritiers d'Abu al-Gimmah Saroor al-Faki La décision : Ce recours a été formé contre la décision de la Cour d'appel d’Etat Bahri et Nil Est, le 62/5/2015 sous le nombre AS CH/285/2015, de rejeter le recours. Les appelants ont eu connaissance de la décision de la Cour d'appel le 2 juillet 2015 et l'appel sera interjeté le 14 juillet 2015. Donc, l’appel a été accepté. Les actes sont résumés dans le fait que l’affaire 738/K /2014 devant le tribunal de Bahri central pour statut personnel fournie par les héritiers d'abual-Kima Sourour al-Faki contre les héritiers d'Osman al-Qurashi Ahmad, que leurs testateur était l'épouse légitime du testateur Abual-Kima Sourour al-Faki jusqu'à sa mort. Les informations légales ont été émises par le numéro 304/2000 et n'incluaient pas le nom de l'épouse et ils demandent maintenant d’enregistrer le nom de leurs testateur, en tant qu'épouse du défunt. L’avocat du défendeur a répondu par une demande légale. La demande de prescription a été annulée conformément au texte de l'article 98 de l'annexe III du Code de procédure civile, a nié le mariage et cherché à radier l'affaire. La demande a été annulée le 4/5/2015. La cour d’appel a fait appel de cette décision et l’a contestée. L’avocat des appelants cherche à annuler les décisions de la Cour de première instance et de la Cour d'appel ainsi qu’à classer l'affaire. Les motifs de l'appel indiquaient que la Cour d'appel avait commis une erreur en ignorant les articles de loi invoqués, à savoir l'article 98 du Code de procédure civile, tableau III, et les appliquait, ce qui mettait fin au litige. Les appelés ne se sont pas référés dans leurs affaires à la décision légitime et n'ont pas fourni d'éléments de preuve à l'appui. Ils ont invoqué leur méconnaissance des dépêches légitimes. Il ne s'agissait pas d'une décision juridique car le droit d'hériter n'acquiert pas des dépêches légitimes mais est acquis par la mort. L'affaire est tombée dans la prescription. La période a été calculée à

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