Au nom de Dieu le Miséricordieux Cour General de Rabek Numéro/A S CH/39/2015 Date 29/12/2015 Appelé : Al-Sadeq Ali Mohammad Appelante : Aliya Mohammad Le jugement : Le tribunal de Rabek de statut personnel, juge de deuxième degré, a publié une décision de refuser l’affaire par manque de raison, le 30/11/2015. La demande a été déposée le 10/12/2015. Elle a été acceptée, car elle a été déposée dans les délais légaux. En lisant les papiers de l’affaire contre l’appelante, en la forçant à habiter dans la ville de Rabek, où elle a vécu avec ses enfants : Safa, Rahik et Ali, âgés de 7, 4,2 ans, où elle habite avec eux dans la ville de Nyala sans la permission de l’appelé. Il a critiqué la décision de la cour de première instance qui volait l’appel numéro A S CH/134/2015. En référant à l’appel susmentionné, le tribunal ordonne le retour des documents au tribunal de première instance afin qu’il agisse conformément a sa décision, lorsque le tribunal de première instance violait l’article 119 stipule dans la loi sur le statut personnel. L’article stipule que l’appelante ne peut pas voyager dans le pays avec les enfants sans la permission de leur père. Mais cela se fait dans de nombreuses conditions et raisons que les parties à l’affaire n’ont été en mesure d’évoquer. La question concerne les faits. Etant donné que le juge est neutre entre les deux adversaires dans toutes les affaires de garde. Il est une tierce partie et il représente les intérêts des enfants. Ila donc estime que ce qui avait été soulevé dans le procès n’avait rien à voir avec les intérêts des enfants. Il a décidé par sa décision numéro 1974183 que la transmission de la mère ne nuisait pas aux intérêts des enfants, et n’invalide pas son droit à la garde, mais il est de son devoir de dire au père selon les règles légales. Ainsi que la cour de première instance devait appeler la mère et entendre ses motivations. Apres l’enquêté, le tribunal peut prendre cette décision. De ce qui précède, je vois que le tribunal a tarde à radier la demande. Il est nécessaire d’annuler le jugement de la cour et de renvoyer les papiers pour procéder conformément au mémorandum. Le jugement final : 1- Annuler la décision de la cour de première instance 2- Renvoyer les papiers pour procéder conformément au mémorandum. 3- Informer les parties Abou Soufian Mohammad Juge de cour général

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